La porte coulissa lentement. A tout hasard, Joreli avait armé son fusil-mitrailleur. De l'aute côté, il y avait...le brouillard.
Ou plutôt un de ces gaz volatiles opaques relativement lourds, qu'on utilisait dans les truquages de cinéma. Mais ce n'était pas du cinéma. Prudement, le militaire s'avança entre les énormes cuves de ce liquide physiologique vert fluo, baignées par ce gaz blanc et froid qui embrumait l'air et tapissait la pièce. Les pâles néons presque hors d'usage grésillaient, fournissant à la pièce une lumière pâle et incertaine.
Le bruit des bottes sur le sol de métal résonnaient dans la longue galerie. Le commandant marchait toujours, par petits pas, entre les pupitres de commandes poussiéreux qui avaient animés les lieux il y a bien longtemps. Il sentait la tension monter, le froid et la peur l'envahir. Oui, il avait peur. Cette sensation étrange, il n'y avait jamais été sujet. Alors pourquoi maintenant ?
Un bruit mat à sa gauche. Joreli se tourna vivement. Et manqua d'étouffer un cri. Une partie du coprs congelé d'une de ces horribles créatures mutantes venait de tapper contre la vitre de son "sarcophage".
S'essuyant le front, il reprit sa marche, de plus en plus vite. Pourquoi ce cadavre avait bougé ? Juste quand il passait ? Que c'était-il passé dans ce lieu ? Piurquoi cette...cette impression ? Pour...
Une ombre sortit de nulle part. Il la regarda s'avançer, figé, paralysé. Son arme était braquée dans sa direction, mais il savait qu'il ne pourrait pas tirer. Les yeux de l'homme entrèrent en lui, dans le plus profond de son âme. Il ne put que difficilement prononçer quelques mots :
"Qu'est-ce...qui...?"
"Toutes ces question, pourquoi faire ?"
L'inconnu était jeune, svelte. Il avait retiré le capuchon de sa grossière cape grise. Son sourire aux lèvres, énigmatique, à la fois souriant et triste, avait quelque chose d'hypnotisant.
Lentement, il se rapprocha de Joreli.
"Tu veux savoir, n'est pas ? Pourquoi tout cela...Ne t'est-il jamais venu à l'esprit que tu pourrais rencontrer ton destin...le sens même de ton exisence, de ta présence. ce que tu crois depuis toujours être ton libre-arbitre...et bien, que tu le veuilles ou non, c'est le cas..."
Il se pinça les lèvres et sortit un cahier de sous son habit.
"A vrai dire, tu n'as rien à savoir car tu n'as rien à dire...voilà ce que tu es, une marionnette, un pantin. Ne coirs pas que je veuilles faire le mal sur Terre...que je veuille te rendre triste. Mais c'est ainsi, inevitable : les personnages appartiennent à leur auteur. Corps...et âme..Il sont là pour leur auteur, en fidèle serviteur de leurs écrits, en instrument de la recherche de la beauté, de ce que l'home trouve en plus profond de lui quand il pose un mot sur un bout de papier. Et il se trouve...que j'ai besoin de toi."
D'un geste, Ominoe Gondana ouvrit le cahier, aspirant tout ce qui l'entourait. Les cuves, les créatures mutantes, le gaz cryogénique, Joreli, tout se fondit dans la page blanche dans un grand maeström blanc.
Puis il s'assit à son bureau, prit un stylo en main...et se mit à écrire.
Présentation HRP (bien un truc de noob ça ^^)
prénom: nicolas
âge: 19 ans
localisation: Strasbourg
profession ou études : Pharmacie, entre en deuxième annéééééééée
sport pratiqué, sport préféré, sports non-aimés: Bah heu... le vélo j'aime bien mais je fais dans l'utile... sinon aïkido mais bon plus pour l'entretien quoi. Suis pas gros sportif...
loisirs: Musique, ordi, écriture, lecture, fiancée...
freres et soeurs, combien? Bah j'ai des deux, zéro à chaque fois ^^
musique écoutée: De tout... je pioche dans presque tous les genres (sauf rap)
jeux favoris: Heu... Grand Prix 3 (eh ouais fan de F1 on se refait pas), le bon vieux Unreal Tournament... pi cest tout suis surtout sur le net
gouts en général: Ils sont très généraux, je leur demanderai des détails à l'occasion
aimes tu le chocolat? Lequel ? (I don't know... aaaaaaaaah !! Monthy Pythons powaaa)
combien as tu d'ordinateur chez toi? Deux, le fixe pour moi et le portable à ton père
sa t'arrives de te brosser les dents? Oui, parfois...
motivations dans ogame: Bah j'aimais bien au début, j'en ai eu marre, j'ai arrêté... étais en Uni 5
degré de no-life attitude: aïgu, modéré, faible à chacun de voir. Une chose sûre, ça passe après le dodo, je le tiens comme sacré...
as-tu des amis a part sur l'ordi? Oui oui...
as tu une vie à part sur l'ordi? Bah heu ouais... je vois mon amoureuse, je cuvre des bouquins dans une médiathèque... mes amis de fac bah question géographique, moins en péridode de vacs...
tes parents sont ils exaspérés que tu soit tout le temps sur ton ordi? Owi owi... vive l'autorité maternelle ^^
une tite photo de toi: heu je chercherai bientôt :p